Deux actualités se télescopent alors qu’elles ont l’air de n’avoir rien en commun : la première est celle de la réforme des retraites, qui repousse encore une fois l’âge de départ, et l’autre l’arrivée d’intelligences artificielles de création de contenus de plus en plus puissantes.
D’un côté, j’entends de gens qui ont fait de longues études dire qu’ils travailleront jusqu’à 64 ans, voire 67, tant pis. De l’autre j’entends en parallèle Goldman Sachs prédire le remplacement de l’équivalent de centaines de millions d’emploi, et en particulier dans les emplois administratifs et intellectuels.
En clair, pour tous ceux qui se croient plus ou moins capables d’endurer la réforme des retraites, il va non seulement falloir arriver en bonne santé à l’âge de départ, mais il va falloir prier de ne pas être devenu obsolète avant. Miam miam.